Des raisons évidentes : monter en compétences et rester compétitif

Dans un monde en constante évolution, un manager doit continuellement développer ses compétences. Il doit le faire que ce soit pour rester performant dans son poste actuel ou pour s’adapter à de nouvelles responsabilités. La formation professionnelle et executive, à l’image de cette proposée par ESG Executive, est un atout majeur pour lui et la réussite de ses projets.

Elle permet d’acquérir de nouvelles connaissances et aptitudes, mais aussi de perfectionner ses savoir-faire managériaux. En se formant, un manager peut mieux comprendre les enjeux stratégiques de son entreprise. Il sera ainsi plus à même de prendre des décisions censées et adéquates ainsi que de prévoir les défis futurs. De plus, une formation renforce la confiance en soi et la crédibilité du manager.

Elle démontre son engagement envers sa carrière et son travail, une qualité appréciée des employeurs. Enfin, la formation offre l’opportunité de réseauter avec d’autres professionnels et d’échanger de bonnes pratiques.

Le choix de la formation professionnelle

Un manager doit évaluer ses compétences actuelles et identifier les domaines où il souhaite progresser avant de choisir une formation pertinente. L’analyse des tendances du marché et des besoins futurs de son secteur d’activité lui sert à anticiper les compétences recherchées.

Le manager peut consulter son supérieur hiérarchique et les ressources humaines pour connaître la formation qui servira les objectifs de l’entreprise. Il ne devrait pas non plus hésiter à se renseigner auprès de collègues ayant suivi des formations similaires pour obtenir des retours d’expérience concrets.

Dans tous les cas, il vaut mieux privilégier une formation certifiante ou diplomante. Enfin, le manager doit prendre en considération ses aspirations professionnelles à long terme. C’est ce qui lui permettra de savoir si la formation l’aidera dans sa carrière.

Des exemples de formation

Les formations professionnelles pour les managers sont nombreuses. Ceci étant, certaines présentent un intérêt stratégique pour eux (personnellement) et leur entreprise.

Une formation en direction et management d’entreprise

Elle acquiert des compétences en leadership et en stratégie d’entreprise. Le manager apprend à mieux gérer les équipes et à prendre des décisions utiles. Cette formation améliore sa capacité à résoudre des problèmes complexes.

Elle offre également une compréhension approfondie des enjeux économiques, sociaux et organisationnels actuels (exemple : la RSE). Le manager peut ainsi améliorer les performances de l’entreprise.

Les formations professionnelles en finance et gestion

Elles l’introduisent aux techniques d’optimisation des ressources financières de l’entreprise. Le manager affine ses compétences en analyse financière, en budgétisation et en contrôle de gestion. Il apprend à interpréter les indicateurs clés de performance. Ces formations améliorent sa capacité à élaborer des stratégies financières efficaces. Le manager peut ainsi contribuer plus efficacement à la rentabilité de l’entreprise.

Une formation professionnelle en data et digital

Elle lui permet de comprendre les enjeux de la transformation numérique et d’exploiter efficacement les données. Le manager apprend à utiliser des outils d’analyse avancés. Il développe des compétences en intelligence artificielle, en big data et en cybersécurité.

Une formation professionnelle en achat et logistique

Elle le propulse dans l’univers de la chaîne d’approvisionnement. Grâce à une telle formation, il saura réduire efficacement et subtilement les coûts opérationnels de l’entreprise. Le manager acquiert des compétences en négociation, en gestion des stocks et en planification logistique. Il apprend à mettre en place des stratégies d’achat efficaces et à gérer les relations avec les fournisseurs.

Acquérir des compétences indispensables en gestion de restaurant ou pâtisserie

Il ne suffit pas d’être un excellent cuisinier pour gérer un restaurant prospère et le développer continuellement. Les formations en management de la restauration, comme ceux proposés par institut lyfe apportent des compétences en gestion des coûts, marketing, stratégie et management des équipes. Elles permettent de piloter efficacement son établissement sur les plans financier, commercial et humain. Et, si vous n’êtes pas aux commandes, car vous préférez être aux fourneaux, vous pourrez alors contrôler le travail du gérant.

Un master, ou parfois un « master of science » offre aux futurs propriétaires une formation approfondie. Celle-ci couvre tous les aspects de la gestion d’entreprise adaptée aux restaurants, pâtisseries, aux arts culinaires. Elle concerne aussi la gestion pure et dure d’une cuisine dans un établissement. Vous acquérez une vision globale du fonctionnement d’un établissement de restauration. C’est essentiel pour diriger un restaurant et surtout, avoir une activité pérenne et rentable.

Développer sa créativité et son réseau professionnel

Au-delà des compétences techniques, les écoles d’art culinaire nourrissent la créativité des étudiants. Elles les poussent à innover, à expérimenter de nouvelles associations de saveurs et à créer des plats uniques. Un cuisinier en a besoin pour renouveler régulièrement sa carte. C’est un vrai plus pour se démarquer.

Votre passage dans une école de management de l’hôtellerie et de la restauration vous offre donc au moins deux atouts. D’une part, vous savez gérer le stress financier lié à votre activité. D’autre part, vous devenez prolifique lorsqu’il s’agit d’art culinaire.

Ces formations permettent aussi de vous constituer un solide réseau professionnel. Les étudiants côtoient des chefs renommés, font des stages et nouent des contacts utiles pour leur carrière. Ce sont là autant d’atouts clés pour réussir dans ce secteur très compétitif.

S’offrir des opportunités de carrière à l’international

Les formations en management de la restauration et de l’hôtellerie, surtout de niveau master, sont reconnues pour avoir une dimension internationale. Elles préparent à travailler dans un secteur mondialisé. En effet, la langue d’enseignement est le français et l’anglais. Vous pouvez même choisir uniquement l’anglais.

En plus, certains établissements mettent à la disposition de leurs élèves une vidéothèque contenant des tutoriels en anglais. En clair, le dispositif de formation ouvre des opportunités de carrière dans le monde entier, y compris à des postes de direction. Un tel bagage académique est un vrai plus sur un CV. Mieux encore, vous pouvez vous permettre d’avoir l’ambition d’ouvrir un restaurant dans d’autres pays.

Gérer des équipes

Le leadership s’apprend ! Les compétences techniques en cuisine ou en pâtisserie ne permettent pas forcément de savoir gérer une équipe efficacement. Un bon cuisinier ne devient pas automatiquement un bon chef d’équipe. La gestion d’une brigade de cuisine ou d’une équipe en salle exige des compétences de management.

Une formation en management permet de développer des qualités telles que la communication, la capacité à motiver, et la gestion des conflits. Ces compétences aident à créer un environnement de travail agréable. Cela se traduit par une meilleure productivité et une excellente qualité qui est constante. Et c’est sans compter sur les effets positifs d’une bonne cohésion pour les membres de l’équipe.

Les réunions : il faut les capitaliser

Puisque les membres sont un pilier pour une association, il faut que ces derniers soient solidaires et aient l’esprit d’équipe. Plus qu’une simple formalité, les réunions sont l’arme secrète pour favoriser la communication. Outre les enjeux et les objectifs à définir, les réunions ont surtout pour but de réveiller le sentiment d’appartenance en chacun des membres. Échange, compréhension et contact sont les maîtres mots d’un sommet de cette envergure. Les éléments indispensables sont :
– Les membres de l’association pour le contact humain.
– La préparation pour le bon déroulement de la réunion.
– Les animations pour amener les membres à participer à la réunion.

Des lieux pour les échanges : la base

Même si l’on peine à l’admettre, les réunions se déroulent toujours dans des endroits trop formels. Grande salle équipée de chaises, de table ronde et de projecteur, chaque réunion semble routinière et ne favorise en rien les échanges. Optez pour un lieu de réunion ouvert qui réveille la créativité et la curiosité des participants. Les plus conseillés sont les parcs à thème qui proposent des activités sportives. Les ateliers créatifs comme la cuisine et l’art sont également à essayer pour amener les membres à devenir plus performants. Dans l’idéal, il faudrait organiser des activités de groupe chaque semestre.

Association à but non lucratif : comment la gérer ?

Pour financer ses activités, une association doit trouver des financements. Helloasso propose des outils gratuits pour accompagner les associations dans leur projet de financement (formulaire de don, crowdfunding, etc.). Il propose également des solutions pour faire connaitre leurs projets. Ceci étant, la gestion d’une association ne se limite pas à trouver des financements ou à recruter des bénévoles. Pour qu’elle puisse fonctionner, il faut que chaque élément la constituant soit à sa place. Organiser des réunions pour faire connaître les objectifs à ses membres, les activités à réaliser, etc. est nécessaire. Tout comme les entreprises, le côté financier est également un domaine à maîtriser dans la gestion d’une association. Pour optimiser les dépenses et les collectes de fonds, il faut penser à engager des professionnels. Des comptables, des gestionnaires ou encore des auditeurs, tels sont les candidats idéaux aux postes.

Des métiers diversifiés

Le premier avantage du secteur immobilier est la diversité des métiers. Beaucoup pensent que l’immobilier ne forme que des agents immobiliers. Or, le secteur compte environ une cinquantaine de métiers différents, une grande partie méconnue du grand public. Les plus courants sont l’agent immobilier, le courtier immobilier, le directeur d’agence, l’expert en diagnostic et le chasseur immobilier. Vous pouvez également vous former pour devenir gestionnaire de copropriété, gestionnaire de patrimoine ou gestionnaire d’actifs immobiliers. Le secteur immobilier fait souvent l’objet de nombreux litiges. Vous pouvez alors vous spécialiser dans les droits des contrats, des baux, des affaires ou encore de l’urbanisme.

Un secteur dynamique

Le secteur n’est jamais constant. Vous pouvez aussi bien travailler auprès des particuliers que des professionnels. D’un côté, il y a les particuliers qui vendent, achètent et louent. Ils ont besoin de l’intervention d’experts en immobilier pour les assister, les guider et les aider dans les démarches techniques, administratives et juridiques. Les investissements sont variés : dans les biens classiques, les locaux professionnels et les actifs immobiliers où l’on a parfois besoin de recourir à un promoteur immobilier. Dans le domaine de l’immobilier, la rémunération est très intéressante, ceci en fonction du fait que vous travaillez dans une agence ou en indépendant. Sachez par ailleurs que les particuliers sont toujours nombreux à chercher un logement à acquérir ou à louer. De même, les professionnels à la recherche d’un local commercial, d’un bureau, d’un lieu de stockage, etc. sont nombreux.

Une formation accessible à tous niveaux

Vous pouvez vous former dans l’immobilier juste après le bac pour décrocher un bac + 2 ou un bac + 3 dans les métiers de transaction immobilière, gestion immobilière et syndic. Puis, il y a d’autres métiers plus exigeants comme l’audit, l’expertise, la promotion et l’ingénierie en immobilier. Pour ces métiers, vous devez avoir un bac + 5.

Définition du business plan

Un business plan est un document détaillant la stratégie que vous comptez mettre en place afin de faire évoluer votre entreprise. Un business plan est également requis lors du rachat d’une entreprise pour connaitre dans quel sens l’entreprise en question compte progresser. Parmi les éléments importants qui devront être détaillés dans le business plan, il y a le type d’activité que compte exercer l’entreprise ainsi que son contexte. Il y a ensuite les clients cibles et la manière dont l’entreprise compte satisfaire à leurs besoins. Enfin, il y a le plan de financement du projet ainsi que son retour sur investissement. Le business plan est généralement mis en place après l’étude du marché, après avoir décidé du business model ainsi que de la forme juridique de votre entreprise. Le business plan est par conséquent une synthèse permettant de finaliser votre projet. En plus de donner une structure à votre projet de création d’entreprise, le business plan est un moyen de convaincre les banquiers et les investisseurs. Par ailleurs, il est important de noter que le business plan est différent du business model. Ce dernier concerne particulièrement la manière dont l’entreprise compte générer des profits. Le business plan concerne, quant à lui, de manière générale la stratégie qu’emploiera l’entreprise sur plusieurs années.

Comment réaliser un business plan ?

Un business plan doit être bien conçu afin que l’entreprise ait une ligne directrice claire. Il doit aussi être bien structuré et être suffisamment convaincant pour pousser les investisseurs à financer votre projet. Pour réussir votre business plan, vous devez par conséquent savoir présenter les compétences de votre équipe. Vous devez également mettre en avant les points qui différencient votre entreprise de ses concurrents, la valeur ajoutée de vos services, etc. N’oubliez pas d’y mentionner les éventuelles difficultés que vous risquez de rencontrer. Ce sera un moyen de prouver que votre projet est plus réaliste. Vous devez aussi justifier les prévisions chiffrées que vous fournirez (le nombre de clients, les profits, etc.). Enfin, rédigez votre business plan de manière simple et claire. En effet, les personnes qui vont le lire ne seront pas forcément habituées aux termes trop techniques. Si elles ne comprennent pas l’importance de votre projet, elles n’y prendront pas forcément part.

Qu’y a-t-il après le business plan ?

Une fois que vous avez une structure précise pour votre projet, il ne vous reste plus qu’à le concrétiser en passant par les étapes administratives. Vous aurez alors besoin de faire immatriculer votre entreprise dans les différents organismes tels que le répertoire Sirene et le registre du commerce et des sociétés. Après avoir suivi toutes les démarches nécessaires, votre entreprise se verra attribuer divers numéros d’identification, dont le SIREN et le code APE. Ces numéros prouvant l’existence légale de votre entreprise figureront ensuite dans votre extrait Kbis. Pour rappel, le document Kbis est très utile pour l’entreprise, car il renferme plusieurs informations légales la concernant. Il fera par ailleurs office de document obligatoire dans certaines démarches effectuées au nom de la société concernée.

L’analyse de l’innovation

L’innovation est l’application commerciale et l’exploitation fructueuse de l’idée. Comme son nom l’indique, l’innovation est l’introduction de chose nouvelle dans une société. Cela pourrait être une amélioration ou un remplacement du processus d’affaires pour augmenter la productivité ou un développement de services ou encore un ajout de la valeur aux produits existants pour distinguer la société. L’innovation, peu importe sa forme, est un changement créatif. Et elle peut venir soit de l’intérieur de l’entreprise soit de l’extérieur. La réussite de l’innovation devrait venir du filtrage des idées. Il ne faut pas oublier qu’il pourrait avoir des risques en innovant sa société.

Les démarches à suivre

L’innovation dans une société peut se faire par l’admission de produits, de services ou de processus nouveaux ou améliorés. Il faut analyser le marché pour faire avancer votre société. Etudiez votre marché et comprenez de quelle façon vous pourrez ajouter de la valeur pour vos clients en innovant. Vous pouvez aussi adopter des circonstances d’innovation en ajustant votre produit aux changements de votre marché. Si vos concurrents ont par exemple une mauvaise réputation en qualité de produit, au lieu de les concurrencer, vous pourrez mettre en évidence la qualité de vos produits.

La planification

Vous devriez faire en sorte que l’innovation fasse partie de votre stratégie d’affaire. Mais aussi, vous devriez avoir une image stratégique de la façon que votre société se développe.
L’innovation vous permettra une chance de survie pour votre entreprise mais aussi une augmentation de bénéfices. Cependant, il ne faut pas oublier d’évaluer la concurrence et d’étudier les tendances du marché ou de l’industrie.

Impliquer les collaborateurs

Le choix est très large en matière de source pour aider à éveiller de nouvelles idées pour la société. Les fournisseurs, les partenaires d’affaires et les relations du réseau d’affaires pourront contribuer à la création de nouvelles idées mais surtout fournir un soutien et des encouragements.

Le bubble foot, un divertissement star du team-building

Il s’agit d’une discipline qui s’apparente au football. Deux équipes adverses doivent marquer des buts dans le camp opposé. Seulement, chaque joueur se trouve dans un bubble. C’est un énorme ballon en plastique transparent qui limite les mouvements. Les jambes sont laissées libres pour pouvoir frapper la balle. Les règles sont pratiquement les mêmes qu’avec le foot classique, mais les joueurs ont le droit d’entrer en contact avec d’autres. C’est beaucoup plus fun.

Du karting pour s’amuser aux pilotes de course

Si la vitesse ne fait pas peur aux collaborateurs, le karting sera alors une discipline qui leur plaira. La course se déroulera dans un circuit fermé et sous la supervision de techniciens qualifiés. Les moniteurs brieferont les participants sur la prise en main des kartings. Ces véhicules sont sécurisés. Ils se déclinent également en plusieurs catégories. Il y a notamment les modèles d’initiation et les petits bolides de compétition. Les pics d’adrénaline sont à prévoir. Cette discipline de team building karting se destine autant aux hommes qu’aux dames.

Jouer au laser game avec les collègues

Le laser game se pratique dans une salle totalement sombre. Il fait appel à la surprise, la stratégie, mais également la convivialité. Concrètement, les participants sont équipés d’un sabre laser. Ils doivent faire en sorte de toucher les autres joueurs. En même temps, ce jeu de team-building consiste aussi à éviter les coups de la part des autres. Si les collègues pourront se glisser sous la peau de personnages de science-fiction, l’ambiance sera au rendez-vous.